Tout cela se passe en France.
Une immense vague qui submerge tout ce qui a fait la beauté et la grandeur de notre pays.
Vous pensez raciste ? Non... simplement PATRIOTE !
Pour mémoire : http://actu.orange.fr/politique/vifs-echanges-entre-besson-et-marine-le-pen-sur-france-2-defection-de-peillon_476485.html
Vifs échanges entre Besson et Marine Le Pen sur France 2, défection de Peillon La question de l'immigration a dominé le duel entre Eric Besson et Marine Le Pen jeudi soir sur France 2, un débat marqué par de vifs échanges entre le ministre et la vice-présidente du Front national et auquel le socialiste Vincent Peillon a refusé in extremis de participer. Dans un communiqué adressé à l'AFP et diffusé à 21H00, alors que l'émission centrée sur le ministre de l'Immigration Eric Besson était en cours, Vincent Peillon s'est insurgé contre son organisation. Il a demandé le départ d'Arlette Chabot, animatrice d'"A vous de juger", directrice générale adjointe de France 2 chargée de l'information, ainsi que des "dirigeants de France 2 qui ont autorisé cette opération". L'eurodéputé, qui devait participer à la deuxième partie du débat, a déploré que la chaîne n'ait "pas trouvé mieux" que "de consacrer la seule émission politique de début de soirée à Eric Besson (ndlr: ex-PS) et de le faire dialoguer avec Marine Le Pen", vice-présidente du FN. La chaîne "prend ainsi en otage le service public et les personnels qui y travaillent", a accusé le responsable PS. "C'est indigne et c'est inacceptable. Jamais une telle dérive ne s'était produite".
Une défection qui a suscité étonnement et indignation de Mme Chabot et de son équipe. La rédactrice en chef, Nathalie Saint-Cricq, a qualifié de "méthode de voyou" le retrait de l'eurodéputé, exprimant son "immense étonnement qu'il n'ait pas pris la peine de téléphoner". Réagissant en direct, Mme Chabot a dénoncé un "coup d'éclat regrettable". M. Besson a jugé cette défection "inacceptable" et Marine Le Pen a estimé que le PS était "en dessous de tout".
"La fuite de M. Peillon le jour même où le PS a déposé sa proposition de loi sur le droit de vote des étrangers en dit long sur sa difficulté à assumer publiquement devant des millions de Français la manipulation qu'il a montée pour séduire l'extrême gauche et exciter l'extrême droite", a réagi le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre. Au contraire, Patrick Mennucci (PS), qui fait partie du même courant que M. Peillon au PS, l'a "félicité" pour son attitude, "un acte politique de résistance à l'abaissement de la République par des politiciens prêts à tout pour conforter leur pouvoir". Quand la défection a été annoncé, M. Besson a souhaité qu'il n'y ait pas "double portion de Mme Le Pen". "Vous commencez avec beaucoup de courtoisie", a-t-elle ironisé. Au cours du débat proprement dit, M. Besson a notamment qualifié de "dinosaure de la politique" Mme Le Pen qui l'a accusé de "régler des petits comptes minables" lorsque il a évoqué l'absentéisme de l'euorodéputée frontiste au Parlement européen. Sur l'immigration, Mme Le Pen a affirmé que la France accueillait tous les trois ans l'équivalent en étrangers de la population d'une ville comme Lille. "Beaucoup de gens dans notre pays, que nous avons accueillis ou plutôt qu'on nous a imposés pour beaucoup, imposent leur mode de vie, leurs moeurs, leurs codes, leurs rites, leurs traditions aux Français, alors qu'ils devraient eux-mêmes se soumettre au mode de vie des Français", a-t-elle observé. Après avoir remarqué à l'adresse de Mme Le Pen qu'elle était "jeune" et qu'elle avait un "physique avenant", M. Besson l'a qualifiée d'"espèce de dinosaure de la vie politique". "Vous utilisez le mensonge, des méthodes qui devraient avoir disparu d'une démocratie moderne", a-t-il dit. Il a enfin estimé que le débat sur l'identité nationale "a signé la fin d'un monopole que le FN a cru vouloir s'octroyer".
- Certainement comme beaucoup de français, j’ai découvert M. BESSON ce soir.
Autant, j’ai apprécié en première partie, la majorité de ses idées, sa franchise et son courage, car il en faut pour retourner publiquement sa veste, autant je n’ai pas aimé le vil personnage, grossier qui plus est, qu’il s’est révélé être dès que Mme LE PEN est arrivée.
- J’ai apprécié que cette dame ait pris les chiffres publiés dans le livre de M. BESSON comme base de débat et qu’elle fasse état des problèmes dont souffrent les français, qui sont une réalité, rue Mirat et ailleurs.
- Par contre je suis déçue de ce débat, ne serait-ce que d’avoir su que M. BESSON surmontait une grande aversion pour le FN, j’attendais un véritable dialogue.
- Hors, les coups bas qu’il a porté, même s’il a raison (je n’en sais rien) m’ont parus totalement indignes comme ceux de ses prédécesseurs, mais Marine ferait bien de tenir compte de cet avertissement si elle veut prouver le sérieux de son engagement : lorsque l’on est élu(e), il faut assumer pleinement ses responsabilités.
– J’ai constaté que l’un comme l’autre ont passé leur temps à contourner les réponses précises aux questions précises et c’est regrettable mais ce débat étant une première et bien difficile, on peut admettre qu’il ait cafouillé.
- La cerise sur le gâteau avec la défection d’un M. PEILLON subitement outragé alors qu’il avait accepté le débat et les intervenants depuis un mois et le matin même a été l’apothéose du grand guignol… !
– J’ai eu pitié de Mme CHABOT et qu’elle se rassure, si un doit démissionner, ce n’est certainement pas elle ni son équipe, mais la baudruche qui devait représenter le PS.
- En tout cas, cela prouve s’il était besoin la grande débâcle qui secoue ce parti depuis plusieurs mois, tous incapables de faire face à leurs responsabilités et à leurs idées manipulatrices car c’est bien l’un deux qui a lancé cette idée d’identité nationale !
- Chapeau bas messieurs dames, personne n’avait pu atteindre comme vous l’avez fait, ces profondeurs abyssales… !
- Question manipulation, le FN peut dormir tranquille… Les français déjà manipulés une fois lors des dernières présidentielles, ont maintenant bien compris les manœuvres des politiques et savent très bien qui s’est toujours soucié envers et contre tout de leur patriotisme et de leurs valeurs, qui a toujours tiré la sonnette d’alarme avec les problèmes liés à l’immigration.
Pour mémoire :
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Vifs échanges entre Besson et Marine Le Pen sur France 2, défection de Peillon
La question de l'immigration a dominé le duel entre Eric Besson et Marine Le Pen jeudi soir sur France 2, un débat marqué par de vifs échanges entre le ministre et la vice-présidente du Front national et auquel le socialiste Vincent Peillon a refusé in extremis de participer.
Dans un communiqué adressé à l'AFP et diffusé à 21H00, alors que l'émission centrée sur le ministre de l'Immigration Eric Besson était en cours, Vincent Peillon s'est insurgé contre son organisation. Il a demandé le départ d'Arlette Chabot, animatrice d'"A vous de juger", directrice générale adjointe de France 2 chargée de l'information, ainsi que des "dirigeants de France 2 qui ont autorisé cette opération".
L'eurodéputé, qui devait participer à la deuxième partie du débat, a déploré que la chaîne n'ait "pas trouvé mieux" que "de consacrer la seule émission politique de début de soirée à Eric Besson (ndlr: ex-PS) et de le faire dialoguer avec Marine Le Pen", vice-présidente du FN.
La chaîne "prend ainsi en otage le service public et les personnels qui y travaillent", a accusé le responsable PS. "C'est indigne et c'est inacceptable. Jamais une telle dérive ne s'était produite".
Une défection qui a suscité étonnement et indignation de Mme Chabot et de son équipe. La rédactrice en chef, Nathalie Saint-Cricq, a qualifié de "méthode de voyou" le retrait de l'eurodéputé, exprimant son "immense étonnement qu'il n'ait pas pris la peine de téléphoner". Réagissant en direct, Mme Chabot a dénoncé un "coup d'éclat regrettable".
M. Besson a jugé cette défection "inacceptable" et Marine Le Pen a estimé que le PS était "en dessous de tout".
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Au contraire, Patrick Mennucci (PS), qui fait partie du même courant que M. Peillon au PS, l'a "félicité" pour son attitude, "un acte politique de résistance à l'abaissement de la République par des politiciens prêts à tout pour conforter leur pouvoir".
Quand la défection a été annoncé, M. Besson a souhaité qu'il n'y ait pas "double portion de Mme Le Pen". "Vous commencez avec beaucoup de courtoisie", a-t-elle ironisé.
Au cours du débat proprement dit, M. Besson a notamment qualifié de "dinosaure de la politique" Mme Le Pen qui l'a accusé de "régler des petits comptes minables" lorsque il a évoqué l'absentéisme de l'euorodéputée frontiste au Parlement européen.
Sur l'immigration, Mme Le Pen a affirmé que la France accueillait tous les trois ans l'équivalent en étrangers de la population d'une ville comme Lille. "Beaucoup de gens dans notre pays, que nous avons accueillis ou plutôt qu'on nous a imposés pour beaucoup, imposent leur mode de vie, leurs moeurs, leurs codes, leurs rites, leurs traditions aux Français, alors qu'ils devraient eux-mêmes se soumettre au mode de vie des Français", a-t-elle observé.
Après avoir remarqué à l'adresse de Mme Le Pen qu'elle était "jeune" et qu'elle avait un "physique avenant", M. Besson l'a qualifiée d'"espèce de dinosaure de la vie politique". "Vous utilisez le mensonge, des méthodes qui devraient avoir disparu d'une démocratie moderne", a-t-il dit.
Il a enfin estimé que le débat sur l'identité nationale "a signé la fin d'un monopole que le FN a cru vouloir s'octroyer".
Clownesque… !
RépondreSupprimer- Certainement comme beaucoup de français, j’ai découvert M. BESSON ce soir.
Autant, j’ai apprécié en première partie, la majorité de ses idées, sa franchise et son courage, car il en faut pour retourner publiquement sa veste, autant je n’ai pas aimé le vil personnage, grossier qui plus est, qu’il s’est révélé être dès que Mme LE PEN est arrivée.
- J’ai apprécié que cette dame ait pris les chiffres publiés dans le livre de M. BESSON comme base de débat et qu’elle fasse état des problèmes dont souffrent les français, qui sont une réalité, rue Mirat et ailleurs.
- Par contre je suis déçue de ce débat, ne serait-ce que d’avoir su que M. BESSON surmontait une grande aversion pour le FN, j’attendais un véritable dialogue.
- Hors, les coups bas qu’il a porté, même s’il a raison (je n’en sais rien) m’ont parus totalement indignes comme ceux de ses prédécesseurs, mais Marine ferait bien de tenir compte de cet avertissement si elle veut prouver le sérieux de son engagement : lorsque l’on est élu(e), il faut assumer pleinement ses responsabilités.
– J’ai constaté que l’un comme l’autre ont passé leur temps à contourner les réponses précises aux questions précises et c’est regrettable mais ce débat étant une première et bien difficile, on peut admettre qu’il ait cafouillé.
- La cerise sur le gâteau avec la défection d’un M. PEILLON subitement outragé alors qu’il avait accepté le débat et les intervenants depuis un mois et le matin même a été l’apothéose du grand guignol… !
– J’ai eu pitié de Mme CHABOT et qu’elle se rassure, si un doit démissionner, ce n’est certainement pas elle ni son équipe, mais la baudruche qui devait représenter le PS.
- En tout cas, cela prouve s’il était besoin la grande débâcle qui secoue ce parti depuis plusieurs mois, tous incapables de faire face à leurs responsabilités et à leurs idées manipulatrices car c’est bien l’un deux qui a lancé cette idée d’identité nationale !
- Chapeau bas messieurs dames, personne n’avait pu atteindre comme vous l’avez fait, ces profondeurs abyssales… !
- Question manipulation, le FN peut dormir tranquille… Les français déjà manipulés une fois lors des dernières présidentielles, ont maintenant bien compris les manœuvres des politiques et savent très bien qui s’est toujours soucié envers et contre tout de leur patriotisme et de leurs valeurs, qui a toujours tiré la sonnette d’alarme avec les problèmes liés à l’immigration.